La récente prise de position de la nouvelle ministre ne doit pas occulter l’importance du projet politique en cours. À travers le choc des connaissances, le mépris affiché pour l’École publique, et l’absence de revalorisation des personnels, un modèle éducatif passéiste se dessine, avec des personnels exécutants et déqualifiés, et une École du tri social qui va à l’encontre de l’École émancipatrice que nous défendons.
Les réformes, les conditions de travail, les actions à entreprendre… Le SNES-FSU consulte ses adhérent·es pour un avenir en concertation dans sa démarche démocratique afin de prendre des décisions éclairées, et dans le souci du lien avec les syndiqué·es.
Il est crucial d’obtenir l’engagement des adhérent·es pour une mobilisation dans la durée après le 1er février, afin de pérenniser la lutte pour nos salaires, nos métiers, et une vision progressiste de l’École. Votre avis sur les perspectives d’action et votre état d’esprit sont nécessaires pour préparer la suite des actions.
Il est impératif que la grève et les manifestations du 1er février soient un succès retentissant. Une participation majoritaire sera le révélateur de notre détermination à ne pas accepter les régressions en cours. Une première journée réussie est essentielle pour construire la suite de nos actions.
La consultation sur les modalités de poursuite d’action après le 1er février est ouverte, et nous invitons chacun à participer activement pour construire une mobilisation efficace et durable.
